Ainsi, elles s’ancrent et deviennent aussi plus dures à changer. Mes pensées activent (ou pas) mes potentiels, en fonction de leur nature et de mon alignement avec celles-ci.
Par exemple, si je suis persuadée que je peux apprendre à dessiner (pensée/croyance), alors je croirai en moi. Mes émotions seront positives (émotion/potentiel), et alors je serai encline à m’entraîner au dessin (action/habitude) et donc progresser (résultat/circonstance).
Ensuite, certaines pensées peuvent être déterminées par mes expériences passées. Si j’ai échoué dans un domaine et que cet échec m’a marquée, alors son souvenir va fragiliser ma confiance en moi dans le présent. Afin de reprogrammer ces pensées dites “négatives”, une astuce est de me connecter à l’instant présent. Autrement dit, je me rends compte que la situation, aujourd’hui, est différente, nouvelle. Par son contexte par exemple, ou bien parce que j’ai évolué depuis l’expérience passée.
C’est plus facile à dire qu’à faire, j’en conviens… Aujourd’hui encore, je soigne mes propres “traumatismes” qui, pour certains, diminuent encore ma confiance en moi.